Photo 817907Madame Renée BAIRIN
Suite à cette douloureuse séparation, nous partageons votre peine et présentons, aux membres des familles concernées, nos plus chrétiennes condoléances.
Photo 818064Monsieur Dimitri CHRISSELIDIS
Dimitri, tu te souviens de notre première rencontre ? Elle remonte, hein ? Maintenant, ça fait combien de temps que cet évènement est passé, 17 ans ? Je te connais depuis que je sais parler, et depuis ce moment-là, je te considère comme mon meilleur ami. Mon frère. Une partie de ma vie. Malheureusement, celle-ci n'aura pas été facile pour toi ces derniers temps, et je m'en voudrais de ne pas avoir su te sortir de là, et ce, pour le restant de mes jours. On a vécu des moments difficiles, certes, mais tu as surtout rendu ma vie bien meilleure, en me faisant vivre des moments incroyables qu'on a partagé, et en m'ayant fait comprendre ce que c'était que d'avoir un "meilleur ami", pas seulement un pote qu'on est content de voir, mais un véritable frère que j'étais heureux de cotoyer presque quotidiennement pendant 15 ans. On aura tout partagé ensemble : notre enfance, avec les théories de fnaf, avec les "Templiers", avec le "Congrès", notre adolescence, avec la puberté, avec le débat, avec les jeux, avec nos appels vocals où on jouait, on faisait du roleplay, on regardait du Feldup... Et aussi nos grands moments de vie : notre toute première réussite scolaire au CEB, jusqu'à notre remise du CESS, où nous avons été graciés de nombreux prix, et où j'étais l'ami le plus heureux et le plus fier de toi. Ton départ dans l'autre monde m'est extrêmement douloureux, je n'arrive pas encore à m'y faire, et même à y croire, mais tout ce que j'espère, c'est que peut importe là où tu es, tu as su te libérer de tous les maux qui te rongeaient à l'intérieur de toi. Je sais qu'on a pas pu énormément se voir depuis ce début d'année, car pour la toute première fois de notre vie, le destin qu'on partageait nous a séparé par deux routes distinctes, mais je chérirais chaque moment que j'ai passé avec toi jusqu'à ce que la mort me fasse te rejoindre. Et jusque là, pour le restant de mes jours, et pour l'éternité qu'est l'étape suivante, je te le promet : tu resteras toujours mon meilleur ami. Merci de m'avoir partagé une partie de ta vie, et d'avoir illuminé la mienne Dimitri, je t'aime mon frère.
Photo 817978Mademoiselle Sophie LAHURE
Bonjour, je suis une copine de classe de Sophie (IFAPME) . Je voudrais dire combien je suis triste et sous le choc. Sophie était une fille d'une gentillesse et d'une serviabilité sans pareille, qui cherchait sans cesse à rassembler (c'est elle qui a pensé à une cacahuète entre nous pour Noël).
Une étoile de plus qui va briller là haut. Elle va manquer à ceux qui restent ici bas. Le monde a besoin de personnes comme elle. Sans doute va t elle continuer à nous aider ici de là où elle est partie. Trop jeune. Elle a rejoint ma petite soeur partie dans des circonstances similaires il y a bientôt 5 ans, Nous en avions parlé ensemble un jour. Puissent ces âmes parties trop tôt briller dans la lumière là haut. J'allume une bougie en pensant à elle.Toutes mes condoléances à ses proches et bien du courage pour cette épreuve si tragique.
Photo 817770Monsieur Maurice OTTOGALI
On t'a beaucoup apprécié avec ton humour , ta simplicité et surtout ta joie de vivre.,ton imagination débordante
Toutes nos amitiés et nos meilleures pensées pour MJo
Photo 816151Madame Géraldine LECLERCQ
Luc's knowledge, passion and compassion were hallmarks of his work to advance the health of women and prevent unnecessary deaths. He was always so full of energy and engaged his colleagues in thoughtful reflection, as well as plans for action. The global maternal health community is in Luc's debt and many women whom Luc never knew, benefitted from his contributions.
Photo 817811Madame Nicole le BUSSY
Vous présentent ses sincères condoléances.
Photo 817556Madame Liliane LASCHET veuve de Marc COLLETTE
Suite à cette douloureuse séparation, nous partageons votre peine et présentons, aux membres des familles concernées, nos plus chrétiennes condoléances.
Photo 817684Monsieur Léon KIERUZEL
A mon ptit Leon tu es parti rejoindre ton fils ,maintenant tu as recupere tes ailes vole vole et veille sur ta famille et tes amis de la Haut
Bisous volants
Photo 817596De heer Fabien De Muylder
Innige deelneming en heel veel sterkte toegewenst aan gans de familie in deze moeilijke tijden.
Geerts Rita.
Photo 817000Madame Gerda 't HART
Mijn lieve vriendin Gerda, we missen je al enorm...
Je wilde me nog een dezer dagen twee nieuwe wandelingen in Waharday laten zien, ik had nog soep voor je... maar het lot heeft anders beslist.
We zullen je nooit vergeten,

Heel veel sterkte Sofie, Bep, Jannie, Klaas, Wieselien, Tessa & Michiel
Isa, Roland, Léon, Caramel, Pascha en Juju
Photo 816966Madame Monique DENÈVE
Maman , Geoffroy, Catherine et Pierre-Alexandre se joignent à moi pour présenter notre profonde empathie à toute la famille et en particulier à Jean-Louis, Sylvie et Michel ... Personnellement, je garde le souvenir particulier de conversations très animées et agréables chez notre très chère cousine Francine
Photo 817054Madame Marie Angèle GENOVÈSE
Cher Michel. Je te présente toutes mes condoléances et te souhaite à toi et la famille, beaucoup de courage.
Photo 817038Monsieur René GOEBELS
Mireille, nous nous associons à ta douleur pour la perte de notre René national. A jamais dans nos coeurs. Courage Mimi.
Photo 817119Madame Virginie FRANÇOIS compagne de Vincent RENANT
Quels mots écrire sur ces maux ?
Aucun ne peut exprimer notre peine.
Encore moins celle de ta famille.
Tu es et resteras ma gentille et jolie petite sorcière bien aimée.
Tu es et resteras une amie.
Tu étais toi avec tes qualités et tes défauts.
Tu étais toi surtout,cette belle personne.
Merci pour ces 10 années auprès de Lauranne, ton petit Ronchonchon.
Tu es une étoile de plus dans le ciel.
Bon voyage ma petite Virginie.
Photo 816600Madame Lucienne MOËS
Nous nous souviendrons toujours de ta gentillesse, de ton humour et ton sourire contagieux. Tu as toujours été la pour nous, dans les bons comme dans les mauvaises moments. Tu étais une personne unique et spéciale, et nous sommes reconnaissants d'avoir eu la chance de te connaître.
        Nos pensées vont à ta famille et à tes amis en cette période difficile. Nous ne t'oublieron jamais.
        Lucia.
Madame Yolande DUFRASNE
Mamie , voilà bientôt 9 ans que tu es partie et tu me manques tellement. Dans les mauvais moments, j'essaie de penser fort à toi pour que de la où tu es,tu puisses m'aider. Si tu étais encore là les choses auraient différentes. Je pense que maman et papa auraient pas divorcés, et maman n'aurait pas eu un comportement mauvais envers nous. Tati qui a couper les ponts .J'aurais tellement voulu que tu vois la femme que je suis devenue. Je t'aime tellement repose en paix 🕊
Photo 816967Monsieur Yves WAGENER
bonjour, je suis Manu, ça faisait 5 ans que j'étais ami avec Yves. une personne généreuse, qui se battait tous les jours pour ses 2 filles. avec sa santé 'fragile', il aimait aider les gens ! bon voyage mon ami, a bientôt pour encore rigoler avec toi 🙏🍻😉☕☀️
Photo 815502De heer Frans Van Gijsegem
Onze oprechte deelneming bij het overlijden van jullie vader.
Photo 816441Monsieur Léon MEURISSE
Chères Familles,
Nous apprenons le décès de Léon. Nous vous prions d'accepter, en famille, nos plus vives et nos plus sincères condoléances émues. Nous garderons toujours de Léon un doux et excellent souvenir.
Avec toute notre affection et nos très sincères amitiés. Beaucoup de courage à vous tous.

Willy et Rita.
Photo 816531Monsieur René BEAULIEU
J'étais un collègue de René à l'institut Cardijn. Je me sentais très proche de lui au point de vue pédagogique. Nous étions tous deux inspirés de la théologie de la libération. Et plus précisément, inspiré par la théologie négative; Dieu est cela même qui n'existe pas et qui doit advenir. C'est ce manque qui nous meut.
Adieu René, d'ici là tu me manqueras.
Paul
Photo 816225Madame Annette LEKEUX
Vole, vole chère cousine, va-t-en loin ; va-t-en sereine. Que ne te retienne ; l'hélico t'attend
Yolande & Alain
Photo 815958Madame Alizée BLAFFART
Pour Alizée,

Dans le silence de l'aube, une étoile s'est éteinte,
Alizée, douce âme, dans nos cœurs garde sa lumière étreinte.
Amoureuse des vents et des routes infinies,
Elle chevauchait la vie, libre et embellie.

Ses yeux reflétaient l'éclat des cieux étoilés,
Son rire, un chant d'espoir dans l'ombre dévoilé.
Auprès des animaux, elle trouvait son refuge,
Dans leur tendre étreinte, elle s'épanchait sans subterfuge.

Sur sa moto, elle voguait vers l'horizon,
Ses amis toujours là, liés par la même passion.
Ensemble, ils tissaient des liens d'amitié sincère,
Des souvenirs gravés, des moments à jamais éphémères.

Alizée, tu restes dans nos cœurs,
Ton amour pour la vie, jamais ne s'éteindra.
Dans le vent, dans les rires, dans les doux murmures,
Ton essence perdure, éternelle et pure.

Merci pour ces moments dans cette vie RDV dans une prochaine.

David W.
Photo 816144Monsieur Guy GOFFETTE
cher Guy, cela faisait des lunes et des lunes que tu faisais allusion à tes soucis de santé. Tu le faisais avec sérieux et ironie, ce qui semblait te préserver de la camarde. Nous en avions encore parlé lors de ta venue chez Tropismes. En septembre de l'an dernier, retour de Burgos dont tu me fais parvenir une vue du cloître et de la porte de Santa Catalina -en réponse à mon envoi de la vue du château de Bussaco cher à Philippe Soupault -, tu parlais de "te distraire de ton mal " qui hypothéquait lecture et écriture. Dans tes voeux du 24 janvier, toujours dans ta grande écriture ouverte, aux caractères noirs d'encre, -tu t'inquiétais de ma santé-, tu parlais également de la tienne " en carton ", disais-tu. Tu terminais sur ton souhait de lire mes dernières réflexions sur trois anges du désastre en ajoutant : " tes anges m'intéressent fort au demeurant , s'ils pouvaient venir à mon secours. Je plaisante à peine."
        Tu en étais alors à devoir lire debout, " comme un vieux curé son bréviaire", et le faisais avec le Verhaeren de Stefan Zweig. C'est qu'il t'a toujours fallu lire et relire. En 2022, tu te ressources et te nourris des Mémoires de monsieur de Saint Simon, du Journal de Charles Du Bos et des textes de Michel de Ghelderode. Bref, tu es et seras toujours en Littérature. N'as-tu pas donné en 2011, pour le centième anniversaire de la naissance des éditions Gallimard, un merveilleux et décapant "Album Claudel", ce poète " souverainement marginal", ce dramaturge "tumultueux qui faisait danser comme personne sur les planches les images d'une vie abouchée à l''Absolu. Affronter Prouhèze ou les "Grandes Odes" n'est pas donné à quiconque t'allait à ravir.
        La soirée d'automne du10 novembre 2023 chez Tropismes te donna l'occasion de quelques saillies bien venues et bien senties à propos de notre littérature et de sa singularité. Tu tins à m'y associer avec insistance. C'était un de nos vieux combats, combat tel, qu'il y a bien longtemps, j'avais pensé à toi pour reprendre mes fonctions de conseiller littéraire du ministère à l'heure où je devenais commissaire au livre.
        En somme, tu l'es devenu, mais sous d'autres cieux, ils t'ont offert une vie plus large. Certes, à Paris, où ta joie de vivre et de boire faisait merveille, tu n'es jamais parvenu à faire vraiment sauter le verrou français hiérarchisant à l'égard des littératures francophones. " Placer un article sur un écrivain belge en France, m'écrivais-tu, c'est la croix et la bannière, crois-moi. J'ai essayé avec Loreau, van Hirtum, etc. A part la NRF, la Quinz er les revuettes, zéro." Même à la NRF, les portes s'étaient fermées. Tes papiers sur mes trois tomes d'"Histoire Forme et Sens en Littérature" n'ont jamais pu franchir ses portes d'airain. Ils impliqueraient une modification des discours et des points de vue, ceux-ci te semblaient essentiels .
        Nous ne cessâmes pas pour autant de nous croiser, avec des moments singuliers dont ce colloque Michaux de 1994 à Coimbra au cours duquel Bruno Roy, dans les couloirs , faisait l'éloge du salazarisme. Toi, tu pétais la flamme, le désir. et l'impertinence doucement insolente. Le passage- sans reniement du poétique- s'amorçait vers les proses, Il allait t'amener à faire resurgir sans fard une " enfance lingère" et ses diverses initiations dans ta Gaume natale.
        Nos rencontres pouvaient également être indirectes. De temps à autre, une étudiante ou une chercheuse étrangère survenue sur mes chemins de " Passeur des Francophonies" venait me poser des questions sur ton oeuvre ou, mieux encore, entretenir nos collègues d'une savante analyse de tes textes. Le hasard des routes fit en outre se retrouver à Bruxelles les vieux briscards que nous étions devenus, et qui passèrent des heures plus que mémorables. Comme si le sillon fécond du tournant du début des années nonante n'avait jamais été interrompu. Ni notre commune fidélité à Max Elskamp.

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