Condoléances
Chère Fernande et famille,
Je viens de prendre connaissance du décès de Joseph.
Nous savons qu'inéluctablement, un jour, l'existence se termine pour chacun d’entre nous.
Ces quelques mots ne modifieront pas ce triste état de fait.
Pourtant je tiens à vous témoigner ma compassion.
Je partage ta douleur mais les mots me manquent pour l’exprimer pleinement.
Pour vous j'espère voir cette épreuve s'effacer petit à petit, au fil du temps.
A mon grand regret, je ne peux malheureusement pas être présent à l’office.
Toute mon amitié.
Philippe VAES
Philippe Vaes- 23-02-10