Monsieur Raymond FERDIN

Domicilié à Harmignies (7022)
Né à Harmignies (7022) le mardi 17 février 1942
Décédé à Mons (7000) le jeudi 15 août 2013 à l'âge de 71 ans
Epoux de Madame Micheline DEDAVE

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le jeudi 15 août 2013.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Raymond FERDIN. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

9 messages (6 privés)
 
Condoléances 

Raymond, tes rires, tes blagues et ta façon de "mettre les pieds dans le plat" ont égayé toutes nos fêtes de famille. Tu pouvais être piquant mais pas franchement méchant. Tes shorts et tenues décontractées étaient à la mesure de ta personne: on ne juge pas sur l'apparence mais sur la finesse du verbe, la puissance des mots, et là, tu en connaissais un rayon. Tu es une personne que je suis heureuse d'avoir connue, fréquentée mais que je regrette sincèrement. Tu ne voudrais pas que nous pleurions car je sais que tu aimes trop l'humour, mais ce serait mal me connaître. Je suis triste aujourd'hui, mais garderais toujours le sourire en pensant en toi.

Corinne et Stéphane Rossignon-Van Baerlem- 20-08-13

Condoléances 

C'est avec une immense tristesse que nous vous présentons nos plus sincères condoléances.
Je garderai toujours à l'esprit l'image d'une personne courageuse, souriante et joyeuse.
Affectueusement,

Anthony Durieux- 19-08-13

Condoléances 

Salut Raymond !
Tes bons mots, ton humour et tes remarques acerbes envers ceux qui le méritaient nous manqueront. Mais ce qui nous manquera le plus, ce sera toi … Nous n’aurons plus l’occasion de réitérer nos « commérages téléphoniques » à moins que de là où tu seras tu parviendras encore à décrocher le téléphone …
Tu vas laisser un grand vite auprès de ceux qui t’aimaient. Tu aurais volontiers « tiré » quelques années de plus, mais la maladie en a décidé autrement. Alors, s’il existe quelque chose après la mort, nous espérons que ce sera quelque chose d’agréable, même si, comme nous te connaissons, tu parviendras quand-même à émettre quelque critique, positive bien entendu !

A toi Micheline, saches que nous sommes de tout cœur avec toi et que tu pourras compter sur nous dans cette période difficile.

Nous t’embrassons très fort.

Yolande et Louis Van Baerlem- 17-08-13