Condoléances
Bonjour... je ne sais qui...
Denis, peut-être...? Neveu du défunt.
Je veux le croire, en tout cas.
C'est plus de quatre ans après l'«Événement» que je me vois informé de la disparition de Jules.
Ce qui est d'autant plus douloureux que j'ignore, aujourd'hui, à qui adresser mes voeux, mes encouragements, mes regrets. Et ma peine.
Ayant connu Jacques, son frère, et Maria Kraus, son épouse, en 1975, en même temps que Jules, ces premiers (de même, terrible épreuve de la vie, que l'un de leurs deux fils : Guy, éternel rieur comme sa maman...) s'en sont également «allés» de ce monde entre-temps.
D'où ma parole au vent. À l'instant.
Qui ne s'adresse plus qu'à un passé déchiré.
Je conserve un magnifique souvenir de vous, tous, à Ocquier.
Alors que vous mettiez en place une amitié avec ce jeune Québécois de 18 ans...
Merci Ria, merci Jacques, merci Jules. Pour ces quelques mois partagés.
Et que je n'ai jamais oubliés.
Vos départs successifs, et ce dès les nonantines pour Jacques, jusqu'à aujourd'hui, Jules, m'imprègnent d'une tristesse que j'ai peine à juguler.
Alors que dire, sinon : Beaux voyages en vos mondes inconnus, mes chers amis !
En espérant au passage que le petit Denis d'alors, aujourd’hui un homme, pourra prendre connaissance de la présente.
Et qu’elle lui sera un baume.
Quelque modeste - sinon dérisoire - qu’il fût.
Jean-Luc,
moins jeune, certes, et moins «beau» que naguère, assurément, mais toujours en pays québécois.
Également, toujours un grand fan - un inconditionnel, même - de Jacques Brel...
Ce 2 décembre 2018
Jean-Luc Gouin- 03-12-18