Bien cher Willy, l'été prochain, le carrefour sera bien vide sans toi. tu était là assis à l'ombre. En passant, je te demandais combien de voitures étaient déjà passées. Tu avais toujours la réponse. Ca va faire vraiment drôle. Je pense que nous penserons à toi à chaque passage.

Charles. MULLER- 04-10-17