Aux enfants de Marie Rose, Géraldine et Vincent

Vous venez de perdre votre maman si jeune encore, elle avait encore tant de chose certainement à vous donnez.

Sa mort ma replongé 40 ans en arrière, souvenir de moments heureux, ou nous prenions conscience que la vie est faite d’amour, de partage des difficultés quotidiennes,

Cette période d’insouciance où nous avions tous les deux l’avenir devant nous, rempli de projets, de période de fou rire, d’une complicité mutuelle pour que personne ne vienne nous empêcher d’être heureux.

Son désir de faire les choses bien, cette vision de l’avenir qui passait par des résultats scolaires au dessus de la moyenne, que si on entreprenait quelque chose , il fallait le faire à fond

Votre maman jeune fille correspondait déjà trait pour trait à la description que vous en avez faite quand vous parliez d’elle.

Cette façon de désamorcer les nombreux conflits qu’elle avait avec sa mère, cette gentillesse dans l’approche des autres, cette façon naturelle d’aborder les gens, cette sensibilité a fleur de peau.

Notre rencontre était l’union d’un comique et d’une intellectuelle, je lui apportais la joie de vivre, elle essayait de m’apporter la rigueur dans les études, elle m’apportait sa fragilité, moi j’essayais de la rassurer.

        J’ai vécu auprès d’elle la période de ma vie la plus heureuse, qui est celle de la passion
d’adolescents qui se découvrent.

Malheureusement son voyage d’un an au U.S.A est venu tous anéantir, ses larmes à Orly juste avant son départ, ses 3 mois ou elle ma écris tous les jours, non pas suffit à me rendre compte que part mon aptitude égoïste, je perdais quelqu’un de formidable et d’unique.

Je n’ai jamais voulu connaître le souvenir qu’elle gardait de moi, par peur qu’il ne correspond pas avec le mien, mais la Marie Rose que j’ai connu serait certainement parti d’un grand éclat de rire en disant que je m’étais tracassé pour rien.

Je garderait le souvenir d’une jeune fille Passionnée et passionnante, toujours prête à découvrir et a donner.

Et le jour où je la rejoindrais de l’autre côté, je sais qu’une vraie amie m’attend. avec
        le petit Grevisse en main.

joé Bertrand- 04-05-07

Aux enfants de Marie Rose, Géraldine et Vincent

Vous venez de perdre votre maman si jeune encore, elle avait encore tant de chose certainement à vous donnez.

Sa mort ma replongé 40 ans en arrière, souvenir de moments heureux, ou nous prenions conscience que la vie est faite d’amour, de partage des difficultés quotidiennes,

Cette période d’insouciance où nous avions tous les deux l’avenir devant nous, rempli de projets, de période de fou rire, d’une complicité mutuelle pour que personne ne vienne nous empêcher d’être heureux.

Son désir de faire les choses bien, cette vision de l’avenir qui passait par des résultats scolaires au dessus de la moyenne, que si on entreprenait quelque chose , il fallait le faire à fond

Votre maman jeune fille correspondait déjà trait pour trait à la description que vous en avez faite quand vous parliez d’elle.

Cette façon de désamorcer les nombreux conflits qu’elle avait avec sa mère, cette gentillesse dans l’approche des autres, cette façon naturelle d’aborder les gens, cette sensibilité a fleur de peau.

Notre rencontre était l’union d’un comique et d’une intellectuelle, je lui apportais la joie de vivre, elle essayait de m’apporter la rigueur dans les études, elle m’apportait sa fragilité, moi j’essayais de la rassurer.

        J’ai vécu auprès d’elle la période de ma vie la plus heureuse, qui est celle de la passion d’adolescents qui se découvrent.

Malheureusement son voyage d’un an au U.S.A est venu tous anéantir, ses larmes à Orly juste avant son départ, ses 3 mois ou elle ma écris tous les jours, non pas suffit à me rendre compte que part mon aptitude égoïste, je perdais quelqu’un de formidable et d’unique.

Je n’ai jamais voulu connaître le souvenir qu’elle gardait de moi, par peur qu’il ne correspond pas avec le mien, mais la Marie Rose que j’ai connu serait certainement parti d’un grand éclat de rire en disant que je m’étais tracassé pour rien.

Je garderait le souvenir d’une jeune fille Passionnée et passionnante, toujours prête à découvrir et a donner.

Et le jour où je la rejoindrais de l’autre côté, je sais qu’une vraie amie m’attend. avec le petit Grevisse en main.

joé Bertrand- 04-05-07

Je viens d'apprendre le décès de Mme Somville, et je ne puis réprimer ma tristessese. Elle a en effet été mon professeur pendant une année à l'ARM, et je ne pourrais jamais oublier sa profonde gentillesse. Je me souviens particulièrement d'un jour de fin d'année scolaire, où il faisait très chaud, et où elle m'avait donné les clefs de sa voiture pour nous offrir les jus de fruits qui se trouvaient dans son coffre... Plus tard, j'ai encore un peu discuté avec elle via internet, étant donné qu'elle avait absolument voulu se mettre à la page. J'ai gardé un souvenir impérissable d'elle, et je pense que bien d'autres de ses anciens élèves ressentiront la même injustice en apprenant la triste nouvelle. Mes condoléances à toute la famille, elle nous a tant parlé de vous.

Benjamin Scherpenbergs- 29-04-07

Ma petite Marie-Rose, J'ai appris dimanche seulement le long et dernier voyage que tu avais entrepris. Ma tristesse est immense car tu nous laisses un peu plus seuls au bord de notre chemin...Mais les bons moments passés ensemble, nos discussions de "filles" , nos partages me réchaufferont encore longtemps...l'ame et le coeur. Bonne route et à plus tard...

Anne-Françoise Dufays- 08-05-07