Hommage
Monsieur Nicolas, Ami sportif,
Cher Jean,
Tu viens de franchir ton ultime ligne d'arrivée.
A n'en pas douter les ovations que tu as reçues en la franchissant ont dû être tout aussi vives, intenses et admiratrices que celles d'ici bas.
Tu viens encore d'obtenir un trophée, celui de l'homme de bien, celui qui te donne le droit de porter la couronne de bienheureux.
Raymond Anselme- 24-01-08