Nous sommes de tout coeur avec vous dans l'épreuve qui vous touche et sans prétention, je vous livre une petite réflexion trouvée dans mes livres de catéchisme.

La grande et triste erreur de quelques-uns,
mêmes bons, c'est de s'imaginer que
ceux que la mort emporte nous quittent.
Ils ne nous quittent pas, ils restent.
Où sont-ils ? Dans l'ombre ? Oh ! Non !
C'est nous qui sommes dans l'ombre.
Eux sont à côté de nous, sous un voile,
plus présents que jamais.
Nous ne les voyons pas,
parce qu'un "nuage obscur" nous enveloppe,
mais eux nous voient.
Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de gloire,
arrêtés sur nos yeux pleins de larmes.
O consolation ineffable, les morts sont invisibles,
mais ils ne sont pas absents.
J'ai souvent pensé à ce qui pourrait
consoler ceux qui pleurent.
Le voici : c'est à la foi, cette pensée réelle
et ininterrompue de nos morts chéris.
C'est l'intuition claire, pénétrante,
que par la mort, ils ne sont pas éteints,
ni éloignés, ni même absents,
mais vivants, près de nous.

Je vous souhaite une foi capable de vous apporter réconfort et consolation.
Ecoutez vos coeurs et vous éprouverez le douceur de l'amour qu'il vous portait.
En toute amitié. Véro et Thierry

Thierry et Véronique Smeets-Sauvage- 19/01/2005