Condoléances
Notre Philippe, mon Filou, des anecdotes avec toi, j’en ai des dizaines. Toutes plus belles et plus drôles les unes que les autres. Avec tes quelques mois de plus que moi, tu as été véritablement un grand frère. Un ami aussi. On se souviendra d’hippocampes, de fromage de Herve au four, de beaux spectacles et de rire partagés… Je ne pourrai assister à tes funérailles, je suis en Norvège. Je vais construire un petit bonhomme de neige et je l’embrasserai très très fort pour toi. Je t’aime, Poyon.
Alain Eloy- 27-02-23