Condoléances
Que dire face à ce grand mystère de la mort à laquelle nous sommes toutes et tous promis ? pas grand-chose, sinon rien...à part quelques formules banales et souvent creuses. adressées... bafouillées... aux proches qui vivent ou survivent .Ce que je peux dire avec certitude, c'est qu'il existe et existera toujours de ces professeurs et belles personnes dont on se souvient toute sa vie. et toi Josiane, avec Joseph, vous en faites partie. Je sais pas où t'es maintenant, mais s'il existe quelque chose tout en haut, tu dois y être filée au Paradis... et sans examen d'admission ou de rattrapage, encore en plus, ça j'en suis sûr. Une maman ne devrait jamais mourir et quand elle meurt quand même, c'est bien le premier chagrin qu'on doit se farcir sans elle, à s'en faire fondre parfois la gueule de tristesse, comme un petit gosse désemparé et perdu, ...y a pas d'âge pour cela... j'en sais quelque chose.... Ne subsiteront finalement que l'amour donné sur cette terre et l'espérance d'un ailleurs un peu moins moche que cette vallée de larmes... trop souvent. Merci, Josiane, pout tout ce que tu nous a apporté et je te le dis à toi et à tous les autres aussi... les bons comme les plus carnes... :.à la revoyure, qu'on rigole encore puis c'est tout !. En attendant, courage à Joseph et à tous ses proches..
"Celui qui a été ne peut plus désormais ne pas avoir été : désormais ce fait mystérieux et profondément obscur d'avoir été est son viatique pour l'éternité." (Vladimir Jankélévitch, 1903-1985)
Sébastien CHOFFRAY- 07-09-25
Condoléances
Je garderai à jamais un excellent souvenir de ma professeur de français madame Clesse.
Nous partageons de votre peine et nous vous présentons nos sincères condoléances.
Famille Francis et Joëlle Barbette-Marichal- 07-09-25