Condoléances
Nous venons d'apprendre le décés d'Elise et nous présentons à Auguste et toute la famille nos sincères condoléances.
Denis et Dominique et leurs enfants BRUNAUX POIRIER- 11-07-08
Condoléances
ma femme se joint à mpoi pour te présenter nos plus sincères condoléances dans ses moments si difficile à traverser - courage
habran-vanhoudt jérôme et vanessa- 10-07-08
Condoléances
Je présente à toute la famille mes plus sincères condoléances. Ces mots n'empêcheront pas votre peine mais j'espère qu'ils vous apporteront un peu de réconfort. Je pense fort à vous.
Delphine DEFOOZ- 07-07-08
Condoléances
NOUS GARDERONS DE NOTRE TRES CHERE VOISINE UN DOUX ET AGREABLE SOUVENIR .Le deuil qui vous frappe nous émeut profondément. Nous voudrions pouvoir prendre une grande part à votre souffrance et alléger, autant que possible, cette très dure épreuve. Croyez en toute notre amitié.
GERARD et MONIQUE SAUBOIN-BILLIAUX- 07-07-08
Hommage
Ma chère Marraine,
Je dis Marraine !
Parce que Monsieur le Curé t’appelle Élise, mais personne ne t’a reconnue, alors je dis Marraine, et tout le monde te reconnaîtra.
Marraine, c’est un mot fort. Ca veut dire un peu : « seconde maman ».
Mais souvent c’est encore plus fort : Une Marraine, c’est quelqu’un à qui on peut faire ses confidences, c’est quelqu’un qui pardonne sans condition, c’est quelqu’un qui vous réconforte quand tout va mal, ... c’est tout simplement de l’amour.
Et bien Marraine, c’est bien le mot qui te convient… Ce doit même être pour Toi qu’il a été créé.
Tu nous as tous aidé à grandir.
Ta vie toute entière, tu l’a offerte aux autres sans jamais penser à Toi. Elle fut un torrent d’amour et d’abnégation.
Je me souviens, lors de grand repas familiaux, alors que tu avais dressé une table gigantesque, que tu avais cuisiné des heures durant, lorsque tous tes invités étaient servis, tu te retirais sans bruit et tu mangeais sur le coin de la cuisinière en gardant un œil sur chaque convive de peur qu’il lui manque la moindre chose.
E t même à la fin, la maladie te rongeait déjà depuis de trop longues années… Tu m’as confié : « Il ne faut pas que je parte la première parce que l’Auguste serait malheureux ».
Tu vois, tu n’as jamais su penser à Toi avant les autres.
Et tu avais raison, l’Auguste, il va l’être malheureux ; mais il ne sera pas le seul à l’être. Nous le sommes tous.
Rassure-Toi, nous gardons tous aussi le souvenir de ton passage, et surtout nous tenterons de garder ton enseignement, ton exemple de « Donner sans compter ».
Et le bonheur de t’avoir connue écartera, piétinera le malheur de t’avoir perdue.
Alors si nous avons un souhait, une intension, une prière à faire, c’est que nous ayons tous suffisamment appris à tes côtés pour tenter de transmettre à notre tour.
Si nous devenions tous comme Toi, le monde en serait si beau.
Neveux, Nièces & Filleuls- 10-07-08