Chère famille. J'ai été très surpris de voir la photo de François dans le journal. Nous avons vécu quelques année, pendant la guerre car François habitait chez nous, à Bruyères, Jean était à Battice et puis je connaissais Hubert et leurs parents, rue du Prince. C'est Hubert, avant sa mort qui m'a permis de retrouver François lorsqu'il exploitait un resto à Chèvremont. Je l'ai encore revu à La Calamine puis, malgré quelques recherches sommaires, je ne l'ai plus revu. Je garde un bon souvenir de François et de nos années passées en commun pendant la guerre. Je vous présente mes conddoléance sincères pour la perte de votre papa. Bien amicalement, Louis

Louis Julémont- 07-11-11