Getuigenis
Chère tantine, je souffre de ne pas avoir entendu parler de votre décès. Je me souviens de toi avec beaucoup d'affection. Quand tu arrivais à Bologne pour moi c'était une fête, en l'air le parfum de ton pouding au chocolat. Je prierai pour toi. Adieu
Francesco Vincenti- 18/09/2012