Monsieur Victor CHARLIER

Domicilié à Liège (4020)
Né à Liège (4000) le samedi 8 juillet 1939
Décédé à Liège (4000) le lundi 18 septembre 2006 à l'âge de 67 ans
Epoux de Madame Danielle SPRIMON

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le lundi 18 septembre 2006.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Victor CHARLIER. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

3 messages (1 privé)
 
Condoléances 

Chère Madame Chartier,
Je voulais vous présenter mes plus sincères condoléances pour le décès de votre cher époux
je transmets celles de mes parents qui sont actuellement absents et ne pourront donc pas vous rendre visite tout de suite
Je crois savoir que nous avons des convictions en commun ,je peux donc me permettre de vous dire qu'il ne vous a pas quitté simplement il sera maintenant chaque jour , à chaque instant auprès de vous pour vous aider à surmonter le chagrin de son absence charnelle

Amicalement Michelle Thiry fille de Monsieur et Madame Thiry-Goffinet

MICHELLE THIRY- 18-09-06

Hommage 

Mon chéri, papa, p’pa, beau-père, papy, Victor, espèce d’enfoiré

Ces quelques mots qui te donnaient le sourire et qu’on disait avec le sourire, amour et respect,
Et aujourd’hui on les dit avec amour, respect mais si tristement…

Je t’ai connu il y a 10 ans, et depuis tout ce temps, jamais je ne t’ai vu en colère, ni hausser la voix
Tu étais la personne qu’on ne pouvait faire autrement qu’aimer et respecter.
Tu étais celui à qui on demandait toujours conseil… et qui, d’après moi, ne se trompais jamais.
Même sur ta fin : Tu disais toujours « le jour où je rentrerais à l’hôpital, je n’en sortirais pas vivant… »…

Sans le savoir, tu fus une personne très importante pour moi…

Sache, mon grand, que tu étais un exemple pour moi et que mon respect te sera éternel. Que j’essayerais de suivre et de le transmettre à ton petit-fils…

Tu étais un sage, parmi les plus nobles…

Maintenant, que va-t-on faire ? Que va-t-on devenir ? Tu nous as enseigné tant de choses…
Ton épouse, que tu as tant aimée… Cela ce voyant dans tes yeux d’un amour si sincère et profond… Près de 50 ans de mariage…

Ta fille, sur qui tu veillais à distance

Et ton papouse… oui, ton « fameux » papouse… Tu étais si fier de parler de ton petit-fils, de raconter ses bêtises tu en avais le sourire même dans les yeux... J’en étais si fier de te voir ainsi…

Et Le Standard a perdu un des supporters les plus fidèles de plus de 62 ans de fidélité… Malgré la pluie, tes rhumes, ta fatigue… Tu y assistais qu’importe les circonstances… Quand Danielle me racontait comment tu étais quand il marquait un but au Stade… sur les trois fois que je t’ai accompagné, j’ai eu la chance et la joie de te voir si content quand le Standard avait marqué ce fameux but… Tu connaissais pratiquement tous les scores… cela nous étonnait toujours

Danielle a perdu son seul et unique amour,
Papouse à perdu son papy,
Joëlle a perdu son père,
Moi, j’ai perdu un sage…

Oh Danielle, ma belle-mère, comme je te vois souffrir, je saigne tellement de te voir ainsi… Nous voudrions tant, ta fille ton petit-fils et moi, te soulager… Ton époux était si gentil, si brave…

Je me remémore encore d’une photo sur laquelle tu étais accroupi les poings fermés et l’expression de ton visage qui disait « je fonce »

Et de notre mariage, là où tu posais comme un professionnel devant les photographes… La tête à droite puis à gauche…

Les rares moments où l’on étaie seuls toi et moi, je les garderais au fond de moi…

Les moments de déconnades aussi : tu t’en rappelles ? Le grenier de ma maison que je voulais faire aménager quand tu n’aurais plus tes quilles ? Des moments que tu voulais aussi me noyer, de ta première tablette de chocolat à l’âge de 6 ans de la marque martouguin

Quand tu nous racontais tes souvenirs, tu les racontais avec une telle passion…

Et d’un projet incertain : aller à Venise l’année prochaine…

Maintenant, tu es libre… Maintenant tu peux voyager où tu veux….

Vas-y, vole, vole mon grand vers Venise, vers Syracuse et tant, tant d’endroits que tu voulais voir

Au revoir Mon mari,
Au revoir papa,
Au revoir papy,
Au revoir p’pa, enfoiré
Au revoir tonton
Au revoir Victor
Au revoir Monsieur le correcteur.

On ne t’oubliera jamais
Et tout au fond de notre cœur,.
Nous t’offrons ces quelques fleurs
Pour dire combien on t’aimait.
On ne t’oubliera jamais.

Luciano ANTOGNINI SILVA- 22-09-06